Les équipes sous pression sont constitués de personnes dévouées à leur emploi, elles trouvent dans la réalisation de leurs tâches une source d'accomplissement personnel : la source de leur plaisir reste donc égoïste, finalement l'esprit d'équipe n'existe pas forcément, les relations humaines sont acérées, et être le leader de tels groupes reste délicat. Chacun cherchant sa performance finit par contribuer à la performance collective.
Pour bien manager ce genre d’équipe, il est nécessaire d’avoir 4 compétences :
* Avoir une tolérance à l'ambiguïté et au chaos ;
* Savoir faire le distinguo entre les dimensions "tâche" et "relation", le plus important restant la relation ;
* Savoir promouvoir le groupe à l'extérieur et le protéger de l'extérieur ;
* Savoir faire preuve de compétence en "art dramatique", être capable de se mettre en représentation, de ruser.
Il a toujours été de bon aloi de prendre comme modèle les organisations guerrières, alors qu’aujourd’hui il faudrait savoir aller chercher des modèles dans le "sport" : le curling peut être vu comme une source d’inspiration du modèle de "management moderne", en effet le rôle du balayeur est essentiel, le balayeur ne touche jamais la pierre, mais il doit faire en sorte que la pierre atteigne son but, la cible dessinée sur la glace. Le rôle du balayeur, qui symbolise le manager intermédiaire, est moins séduisant que celui du héros type, puisqu’au lieu de tenir un étendard, il s’agit là d’un simple "balai", mais il n’en reste pas moins que ce rôle est essentiel à l’atteinte de la cible.
Le manager efficace en temps de crise est celui qui est motivé pour s'occuper des gens, à prendre l'humain pour ce qu'il est et tenter de produire en optimisant ce dont il dispose, plutôt que de chercher en permanence à avoir les meilleurs de chaque domaine.
Car il est impossible de disposer des meilleurs, il y a toujours des problèmes de personnels, et il existe toujours des personnes délicates à gérer en terme de personnalités. En fait, on s’aperçoit que les gens recherchent la paix, "l'autonomie", et aspirent à devenir un expert intouchable dans un bureau qui joue le rôle d’une "coquille de Bernard Lhermitte", car "tenir le balai n'attire pas".
Dans la tempête, un bateau ne coule pas tant que le capitaine arrive à maintenir l'équipage sur le pont. Dès que l'équipage descend dans la cale, alors...
Il a toujours été de bon aloi de prendre comme modèle les organisations guerrières, alors qu’aujourd’hui il faudrait savoir aller chercher des modèles dans le "sport" : le curling peut être vu comme une source d’inspiration du modèle de "management moderne", en effet le rôle du balayeur est essentiel, le balayeur ne touche jamais la pierre, mais il doit faire en sorte que la pierre atteigne son but, la cible dessinée sur la glace. Le rôle du balayeur, qui symbolise le manager intermédiaire, est moins séduisant que celui du héros type, puisqu’au lieu de tenir un étendard, il s’agit là d’un simple "balai", mais il n’en reste pas moins que ce rôle est essentiel à l’atteinte de la cible.
Le manager efficace en temps de crise est celui qui est motivé pour s'occuper des gens, à prendre l'humain pour ce qu'il est et tenter de produire en optimisant ce dont il dispose, plutôt que de chercher en permanence à avoir les meilleurs de chaque domaine.
Car il est impossible de disposer des meilleurs, il y a toujours des problèmes de personnels, et il existe toujours des personnes délicates à gérer en terme de personnalités. En fait, on s’aperçoit que les gens recherchent la paix, "l'autonomie", et aspirent à devenir un expert intouchable dans un bureau qui joue le rôle d’une "coquille de Bernard Lhermitte", car "tenir le balai n'attire pas".
Dans la tempête, un bateau ne coule pas tant que le capitaine arrive à maintenir l'équipage sur le pont. Dès que l'équipage descend dans la cale, alors...
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